• slide show 01
  • slide show 02
  • slide show 03
  • slide show 04
  • slide show 05
  • slide show 06
  • slide show 07
  • slide show 08
  • slide show 09
  • slide show 10

L’Ile de France, une Nature Insoupçonnée

ile france 00
Voici l'épisode le plus paradoxal de La série, mais aussi le plus concernant pour le public, qui habite majoritairement des zones urbanisées, villes ou banlieues. Des oiseaux aussi beaux que le guêpier, le martin-pêcheur, et le loriot vivent près de chez nous. Nous tenterons de tes approcher, ainsi que le renard roux, héros de ce film et symbole d'opportunisme et d'adaptabilité. En explorant la frontière mouvante qui distingue aujourd'hui la campagne et la ville, nous montrerons comment deux mondes se côtoient et s'interpénètrent. Du cœur de la capitale jusqu'aux limites de l'Île-de-France, « l'invasion » est à double sens : l'urbanisation grignote la campagne et la nature investit la ville. Dans cet univers où l'homme est omniprésent, quelle place reste-t-il pour l'animal et le végétal… Qui sont les petits débrouillards qui parviennent à s'adapter pour survivre… Insoupçonnables ou familiers, ces opportunistes sont-ils condamnés à disparaître… Aujourd’hui, il paraît important de faire la somme des expériences concrètes et des réflexions plus techniques sur le paysage, les paysages, en fonction d’un territoire, celui de l’Île-de-France. Les arbres, qui poussent en bordure de l'eau, sont essentiellement représentés par des platanes, des peupliers d'Italie et des trembles. On peut aussi voir quelques saules, dont les branches, attirées par l'humidité, frôlent l'eau de la rivière, procurant au badauds une belle vision romantique.

Menace des espaces naturels
Paris, capitale politique, économique et culturelle de la France n'en est pas moins la capitale d'une région qui recèle un patrimoine naturel d'une richesse peu connue. Région la plus urbanisée, l'Ile de France compte cependant 24 % d'espaces boisés et 54% de zones agricoles ; ce qui lui permet d'abriter 10 000 espèces animales, dont 200 protégées. La flore y est particulièrement abondante et diversifiée puisqu'on y trouve près de 25% de la flore française. Dans une région où l'activité humaine est d'une telle ampleur, où l'urbanisation menace directement les espaces naturels et les écosystèmes qui s'y rattachent, l'enjeu de la préservation de la biodiversité ne peut être que prioritaire. La région met en place des stratégies concrètes telles que la reconquête des espaces naturels, le retour de certaines espèces emblématiques ou encore la valorisation du patrimoine naturel d'Ile de France. Seuls 20 % de l'Ile-de-France sont urbanisés, ce qui, à première vue, pourrait être une bonne nouvelle pour la nature. Malheureusement, si l'on met de côté les forêts qui constituent des refuges de biodiversité, l'espace restant est, dans une très large majorité, occupé par de grandes exploitations agricoles qui continuent à « utiliser de façon déraisonnée des pesticides ».
Introduction de la faune sauvage dans les villes : Des renards qui déambulent place de la République à Paris, des sangliers dans les rues de Berlin, des vols de perruches au-dessus de Bruxelles… Eh oui, les animaux qui vivent dans nos villes ne sont pas toujours domestiques. On dit toujours que la nature n’est jamais loin. Mais ces derniers temps, on dirait qu’elle s’est drôlement rapprochée de nos villes. Les animaux semblent même apprécier particulièrement la vie dans les capitales, même si on comptait, mine de rien, deux fois plus d’espèces de mammifères sauvages dans le Paris du XIXe siècle qu’aujourd’hui. Certaines espèces européennes, comme le hérisson, sont arrivées toutes seules dans les villes. D’autres, plus exotiques comme les perruches à collier, ont débarqué du monde entier. Relâchées par des propriétaires imprudents, parfois évadées d’une cage, elles se sont quand même acclimatées à la vie citadine. Animaux online a mené l’enquête à Paris.

Description du Film
Du cœur de la capitale jusqu'aux limites de l'Ile de France, l'invasion est à double sens : l'urbanisation grignote la campagne et la nature investit la ville. Dans cet univers où l'homme est omniprésent, quelle place reste t-il pour l'animal et le végétal... Qui sont les petits débrouillards qui parviennent à s’adapter pour survivre... Insoupçonnables ou familiers, ces opportunistes sont-ils condamnés à disparaitre... La nature en Ile de France révèle l'un des visages de la France sauvage. Du cœur de la capitale jusqu'aux limites de l'Ile-de-France, l'invasion est à double sens : l'urbanisation grignote la campagne et la nature investit la ville. Dans cet univers où l'homme est omniprésent, quelle place reste t-il pour l'animal et le végétal... Qui sont les petits débrouillards qui parviennent à s'adapter pour survivre... La nature en Ile-de-France révèle l'un des visages de la France sauvage. L’Île-de-France possède un patrimoine architectural et paysager d’une très grande qualité. Cependant des menaces pèsent sur ses paysages : le poids de la population, l’étendue de l’urbanisation, l’importance des infrastructures.

Parcs naturels régionaux
Les quatre Parcs naturels régionaux d’Île-de-France constituent une couronne verte autour de la métropole, qui participe à la qualité de vie et à l’atténuation du changement climatique. Les deux projets de Parcs de la Brie et deux Morin et du Bocage gâtinais viendront bientôt compléter le réseau régional aux côtés des Parcs de la Haute Vallée de Chevreuse, du Vexin français, du Gâtinais français et Oise-Pays de France. Ensemble, ils confortent la place que la Région souhaite donner à ces territoires ruraux et périurbains, et concrétisent l’ambition régionale pour l’aménagement durable, au travers du Schéma directeur « Île-de-France 2030 », adopté fin 2013. La mission fondamentale des Parcs réside dans l’aménagement et le développement du territoire fondés sur la protection et la mise en valeur des patrimoines naturels, culturels et paysagers. Les Parcs franciliens sont confrontés à des enjeux métropolitains au même titre que les autres territoires : le réchauffement climatique, le développement des énergies renouvelables, le défi alimentaire, la pression foncière, ainsi que la cohésion sociale et le vieillissement de la population. Les Parcs se mobilisent pour un développement plus juste, plus équilibré, mais aussi auprès des territoires périurbains.